Sûrement l'une des bouteilles les plus complexes du domaine, un jus complet, volumineux, solide et hautement racé.
Jean-Louis Trapet
Jean-Louis Trapet est à la tête du domaine familial fondé par son arrière-grand-père en 1870, composé d'une quinzaine d'hectares sur les plus belles parcelles autour de Gevrey ; Andrée et Jean-Louis Trapet sont également présents en Alsace avec 6 ha à Riquewihr, domaine alsacien familial de Madame. Jean-Louis et Andrée sont des biodynamistes convaincus, et interviennent peu en cave. Les élevages sont longs et respectueux, sans soufre, certaines cuvées en grappes entières, et donc axées sur le fruit. D'autres, plus classiques, sont là pour exprimer au mieux la complexité de ces climats de légende. Quelques mots de Jean-Louis : “Le vin est une des matières les plus civilisées qui soit. Pour le vigneron que je suis, la voie de la douceur et du respect me permet de cheminer vers le plus haut degré d’expression de mes terroirs.” Les deux fils du couple, Pierre et Louis, ont suivi le chemin de leurs parents et vinifient aujourd’hui de très beaux jus en leur nom propre, un domaine à suivre de près.
Jus massif, intense, riche et extrêmement concentré... Bouche: grosse mache, profond, structure riche, longueur interminable.... Grosse, grosse bouteille.
Notes florales, de confiture de fraises, de poivre blanc... La bouche est toute aussi ravissante, avec une belle matière équilibrée par l'acidité du fruit. Le sérieux et l'excellence d'une grande maison qui s'applique et nous livre des cuvées de pur plaisir même sur ses vins de plaisir.
Sûrement l'une des bouteilles les plus complexes du domaine, un jus complet, volumineux, solide et hautement racé.
Sur la framboise mûre, la cerise noire, le sous-bois... Bouche élégante, charnue, vive et fraîche, la finale est longue et sapide.
Poire, fleurs blanches, litchi... Bouche fruitée et aromatique, joli volume, quelques grammes de sucres résiduels, on est entre un vin sec et demi-sec, mais encore très loin du moelleux! L'ensemble est équilibré grâce à une grande fraîcheur.
Sur des notes expressives de cassis, de cerise, de prune rouge, de pivoine... Bouche concentrée, intense, riche et sphérique, finale longue et soyeuse.
Un nez profond sur des notes minérales, touches de cassis et de mûres, pointe fumée. Elancé, vif, les tanins sont fondus pour un ensemble hautement buvable. 1441 est l'année de la consécration de la chapelle de Saint Erhard bâtie sur les remparts de la ville de Riquewihr.
Un style identifiable par sa douceur, sa rondeur, ses fruits rouges, son attaque tendre et sa tenue en bouche. Irréprochable.
Un nez des plus complexes sur la framboise, le sous-bois, la muscade, notes minérales et de mine de crayon... Bouche: pure et précise, grosse intensité, finale extrêmement longue, élégante, toute en dentelle. Soyez patients, c'est une bouteille qui mérite du temps dans votre cave.
Nez hautement complexe, puissant et intense sur des notes de fraise, de framboise écrasée, qui évolue vers des notes de sous-bois, de truffe, de craie, d'épices douces, pointe mentholée. Jus précis aux tanins fondus, longueur interminable.
Une complexité difficilement synthétisable, portée par les fruits rouges, le cuir, le sous-bois, la truffe... Sûrement l'une des bouteilles les plus intéressantes du domaine, un jus complet, volumineux, solide et hautement racé. Une émotion immense lors de la dégustation.
Ce n'est pas le plus puissant mais bien le plus fin, précis et raffiné. Une bouteille inoubliable si vous lui laissez le temps de s'épanouir dans votre cave... Palette aromatique infinie et insaisissable.
Nez sur des notes de fruits rouges, de craie, de baies roses... Texture splendide, toute en finesse et fraîcheur, finale soyeuse et persistante. On rentre déjà dans le vif du sujet "Trapet"... Magnifique quille!
Troisième millésime pour cette cuvée 1859, renouvelée après la beauté du 2019 puis du 2020, qui rendait hommage aux quelques 150 années de culture par les Trapet. Sur des notes de fruits rouges, d'épices, de violette... Bouche sphérique et juteuse, tanins fins, très belle allonge.
Sur les fruits noirs, les épices... Un Gevrey de haut-vol, complexe, intense... Le terroir parle beaucoup, on atteint ici une très grande finesse.
Jus massif, intense, riche et extrêmement concentré... Bouche: grosse mache, profond, structure riche, longueur interminable.... Grosse, grosse bouteille.
Ce n'est pas le plus puissant mais bien le plus fin, précis et raffiné. Une bouteille inoubliable si vous lui laissez le temps de s'épanouir dans votre cave... Palette aromatique infinie et insaisissable.
Sûrement l'une des bouteilles les plus complexes du domaine, un jus complet, volumineux, solide et hautement racé.
Grande classe pour ce Bourgogne Villages qui a tout d'un grand, sur des notes de pomme au four, d'écorce d'orange, de noisette. Bouche: très beau volume, minéralisé structurante qui soutient cette jolie longueur.
Troisième millésime pour cette cuvée 1859, renouvelée après la beauté du 2019 puis du 2020, qui rendait hommage aux quelques 150 années de culture par les Trapet. Sur des notes de fruits rouges, d'épices, de violette... Bouche sphérique et juteuse, tanins fins, très belle allonge.
Sur les fruits noirs, les épices... Un Gevrey de haut-vol, complexe, intense... Le terroir parle beaucoup, on atteint ici une très grande finesse.
Un nez profond sur des notes minérales, touches de cassis et de mûres, pointe fumée. Elancé, vif, les tanins sont fondus pour un ensemble hautement buvable. 1441 est l'année de la consécration de la chapelle de Saint Erhard bâtie sur les remparts de la ville de Riquewihr.
Lichee, ananas, melon, miel, fleur de sureau... Les sucres résiduels sont parfaitement intégrés pour nous offrir une bouche veloutée, douce, toute en rondeur, avant une longueur aromatique incontestable.
Nez complexe qui s'exprime par des notes de fruits blancs, de minéral, on retrouve les notes pétrolées typiques du cépage, dans le meilleur sens du terme! Beaucoup de pureté et de tension, belle amplitude, finale sur une pointe fumée.
Une très belle interprétation de l’appellation dans un registre classique. Bouche racée et opulente, charnue, un beau gras et un boisé fondu, finale interminable, beurrée et miellée.
Fruits des bois, cerise, cuir, pointe fumée, cacao, cannelle, pruneau… La bouche est bien mûre, c’est un vin abouti, complexe, qui nous offre déjà une très belle matière élancée et une grande longueur aromatique.
Le nez s’ouvre sur un panier de fruits rouges frais : cerise, fraise, groseille ; avant d’évoluer vers le sous-bois, le poivre et une pointe de muscade. La bouche est puissante, enveloppante et très charmeuse, bien qu’encore dans la fougue de sa jeunesse. Beau potentiel de vieillissement.
Jolie découverte pour cette cuvée qui devrait donner le meilleur d’elle-même d’ici quelques années : notes de citron, de coing, de fleurs, de miel, touches minérales. Bouche : complémentarité entre volume et tension, finale longue.
Nez profond sur la pivoine, la cerise, le poivre, la cannelle… Bouche croquante, très beau volume en milieu de bouche, un vin digeste, longue finale à la fois fruitée et crayeuse.